Voici un poème écris alors queje regarde la demi finale de Federer et Davydenko.
Les balles traversent et la foule se lève,
La foule se soulève et les balles transpercent
Phébus l'ennemi dévore les athlètes
qui s'essoufflent avec le ciel qui souffle
Tandis que Verbiage recouvre le jeu
Ô commentateurs devins et sérieux
Laissez donc nos danseurs à leurs balles infidèles,
capricieuses du court.
Phébus l'ennemi dévorant les athlètes
biensur s'il s'agissiat de Novak, j'aurais ajouté: danseur sagace